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Vincent Lambert

En pleine semaine de Pâques, le Conseil d’Etat sacrifie à la culture de mort : il valide la décision d’arrêt des « soins » de Vincent Lambert prise par le CHU de Reims en avril 2018.

Rappelons que l’arrêt des « soins », selon le vocabulaire euthanasique officiel, consiste à faire mourir de faim et de soif une personne qui n’a pas besoin de… soins.

Les avocats de ses parents saisissent la Cour européenne des droits de l’homme et le Comité international de protection des droits des personnes handicapées de l’ONU.

Addendum 30 avril

Sans surprise, la CEDH a rejeté la requête. Elle avait déjà validé l' »arrêt des soins » en 2015. « Si nous ne pouvons que déplorer cette décision de la CEDH qui condamne Vincent Lambert à mort pour la 5e fois, c’est du CIDPH que nous attendons aujourd’hui et principalement que les droits de Vincent Lambert soient enfin défendus », ont réagi dans un communiqué ses parents, son demi-frère et sa sœur.