Jean Zay au Panthéon.
Je ne suis pas un dévot du drapeau, et moins encore du drapeau de la République laïque, mais quand on me dit que la patrie devrait être reconnaissante à celui qui parlait, dans un « poème » (sic) du drapeau français comme « cette saloperie-là », « cette saloperie tricolore », « cette loque », « cette immonde petite guenille », l’« ignoble symbole » « de la race vile des torche-culs », il y a quand même un problème, non.
Jean Zay, franc-maçon de la loge Etienne Dolet du Grand Orient ; ministre de la déséducation nationale du Front populaire… Le Panthéon ne s’arrange pas.