Au Québec, une actrice de 14 ans s’est fait passer pour une ado voulant « changer de genre » dans une clinique dédiée à cet immonde commerce. Elle a récité la formule magique d’être « née dans le mauvais corps » à une femme médecin qui en moins de 9 minutes lui a prescrit des hormones, puis lui a fait dire qu’elle voudrait aussi subir une ablation des seins et de l’utérus, car « garder l’uterus peut provoquer une dystrophie ». La consultation a duré 17 minutes en tout.
La vidéo de la chaîne CBC qui raconte la chose commence par dire que les listes d’attente des cliniques d’Etat spécialisées dans le « changement de genre » s’allonge : huit mois d’attente à Meraki, un an à Sainte-Justine. « Pour ceux qui ne veulent pas ou ne peuvent pas attendre (sic), il y a une autre option : le privé. » Pour 115 dollars canadiens (78 euros), on rencontre un médecin qui vous prescrit les hormones et le charcutage comme si c’était un rendez-vous chez le coiffeur.
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De plus en plus de soldats espagnols décident de « s’auto-identifier » comme femmes, ainsi que la loi le permet désormais. Ils sont pas moins de 41, dans la seule garnison de Ceuta (l’enclave en Afrique du nord) à avoir changé légalement de sexe. Seuls quatre d’entre eux ont aussi changé leurs prénoms.
« Extérieurement je me sens comme un homme hétérosexuel, mais à l’intérieur, je suis lesbienne. Et c’est cette dernière qui compte », dit sans rire un caporal barbu.
L’explication est que dans l’armée les femmes ont une solde plus importante que les hommes, et qu’elles bénéficient de meilleures conditions de vie : elles disposent d’une chambre privée dans la caserne avec une salle de bain.
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Décidé à prendre le contrepied de Jobidon qui dans son discours de l’état de l’union allait une fois de plus célébrer toutes les perversions LGBT (et il est allé aussi jusqu’à promettre de renverser le renversement de l’arrêt Roe contre Wade pour imposer l’avortement dans tous les Etats), le président de la chambre des représentants, Mike Johnson, avait invité Chloe Cole, qui est devenue la grande militante anti-trans après avoir été incitée à « changer de sexe » au point de subir les mutilations qui vont avec, avant de se rendre compte qu’elle avait été abusée par la pression des idéologues pervers et d’entamer une « détransition ».
« Les enfants ne naissent jamais dans le mauvais corps. »