Une militante du collectif Nemesis, de 19 ans, a été placée en garde à vue après une plainte pour « incitation à la haine ou à la violence en raison de l’origine » déposée par le maire (écolotyrannique) de Besançon. Parce que, lors du carnaval, deux militantes de Nemesis avaient brandi des pancartes disant : « Violeurs étrangers dehors » et « Libérez-nous de l’immigration ». Et qu’une banderole disait : « 46 femmes auraient pu être épargnées si les OQTF avaient été appliquées en 2023 ».
Le féminisme c’est bien, mais quand c’est Nemesis c’est mal, parce que c’est « lestremdroate » et que selon le maire de Besançon s’exprimer contre l’immigration est un délit.
Leur avocat Frédéric Pichon indique qu’il va porter plainte pour atteinte à la liberté individuelle par une personne dépositaire de l’autorité publique.