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Le délire sans fin

Quand on n’a plus de repères, le délire n’a pas de raison de s’arrêter. Un tribunal argentin, saisi d’une requête en habeas corpus d’un lobby de défense des « droits » des animaux au nom d’un orang-outan d’un zoo argentin, a décidé hier (oui, un dimanche), que le singe, qui se cachait des visiteurs, devait être « remis en liberté », au motif que c’est une « personne non humaine » (sic), qui doit « jouir de droits basiques comme celui d’être libre ».

Logiquement, l’orang-outan devrait être remis en liberté en… Allemagne, où il est né. Mais non. On va le mettre dans un « sanctuaire » (sic) au Brésil…