A Saint-Germain-en-Laye, les catholiques qui souhaitaient avoir la messe traditionnelle se sont toujours heurtés à un refus du clergé soutenu par l’évêché : il n’y a pas de prêtre disponible, il n’y a pas d’église disponible. Un mur de béton.
Or voici que l’église Saint-Louis de Port-Marly, haut lieu de la messe traditionnelle, a dû fermer pour d’importants travaux. Les messes ont alors été célébrées en la chapelle des Franciscaines… de Saint-Germain-en-Laye. Cette chapelle dont précisément on disait qu’elle n’était pas disponible.
Aujourd’hui les travaux s’achèvent à Port-Marly. Les chapelains ont fait savoir qu’ils étaient disponibles pour continuer d’assurer le culte à la chapelle de Saint-Germain-en-Laye. Ce qui répondrait au vœu de nombreux fidèles de la ville et en même temps désengorgerait l’église de Port-Marly.
Mais il n’en est pas question. Et pour être bien sûr que la messe traditionnelle ne reste pas dans la ville de Louis XIV, on confie la chapelle des Franciscaines… aux Ukrainiens. Sic.