La monnaie unique, comme chacun sait, est un gage de prospérité, une nécessité pour l’économie et l’emploi. C’est ainsi qu’on nous l’a vendue. Hors l’euro, pas de salut.
Au Royaume-Uni, le taux de chômage est tombé à 5,3%. Or on considère généralement que 5% de demandeurs d’emploi équivaut au plein emploi.
Et les salaires entre juillet et septembre ont continué à augmenter fortement, de 3% par rapport à la même période de l’an passé.
On dirait que la malédiction du refus de l’euro ne marche pas à tous les coups…
Et si l’on regarde la Suède, le Danemark, la Pologne (sans parler de la Norvège et de la Suisse), on a plutôt l’impression qu’elle ne marche jamais, et que pour nombre de pays de la zone elle a comme un air de boomerang…