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Géorgie

Résumé :

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Le veto de la présidente est purement symbolique, puisque le texte sera de nouveau voté, cette fois définitivement, par la majorité.

Le problème de la Géorgie est que la première personnalité de l’influence étrangère est la présidente du pays, Française née en France et qui n’a obtenu la nationalité géorgienne qu’en 2004, lorsqu’elle est passée de la fonction d’ambassadeur de France à ministre des Affaires étrangères de Géorgie… Pendant un an et demi, avant de partir… à l’ONU, et de revenir en 2016.

Il est donc urgent que la Géorgie se débarrasse de sa présidente…

Laquelle n’a rien trouvé de mieux que d’inviter Macron pour la fête de l’indépendance, le 26 mai. Certes, Macron représente bien toute la pourriture occidentale, mais il n’est pas certain que ce soit cela qu’attendent les Géorgiens.

En attendant il se trouve des députés, tant au Parlement européen qu’au Congrès américain, pour demander des sanctions contre les députés géorgiens qui oseraient voter de nouveau la loi contre leur influence. La démocratie fait décidément de gros progrès…

Il se trouve d’ailleurs que nos gazettes ont oublié d’évoquer l’autre manifestation géorgienne, celle du 17 mai, la « Journée mondiale contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie », qui est en Géorgie la Journée de la Pureté de la Famille. Ici à Tbilissi :

Mais aussi dans les villages :