Lu ici :
«Je ne comprends pas comment c’est possible. À chaque fois que je croise une voiture avec des plaques ukrainiennes, c’est une grosse bagnole que je ne pourrai jamais m’offrir. Et en plus, on leur file du pognon. Je ne trouve pas ça normal!» déplore un Vaudois. Il n’est pas rare d’entendre de tels témoignages, un peu partout en Suisse romande.
En théorie l’aide n’est versée qu’aux personnes qui en ont besoin (sur la base de déclarations sur l’honneur).
Un cas particulièrement parlant nous a néanmoins été rapporté: un couple avec quatre enfants, qui touche mensuellement un peu moins de 4000 francs de la part de l’Établissement vaudois d’accueil des migrants (EVAM). En parallèle, les parents roulent dans deux grosses voitures d’une valeur à neuf de plus de 100’000 francs chacune. Des bolides dont le simple entretien et les frais d’assurance seraient difficiles à assumer pour une famille suisse de classe moyenne.
(Le franc suisse est équivalent à l’euro.)