Il a perdu l’élection présidentielle en Argentine, explique le blog Messa in latino.
C’est en effet le chef d’entreprise libéral (et pro-vie) Mauricio Macri qui a été élu, face au candidat péroniste de gauche Daniel Scioli, poulain de la présidente sortante, et soutenu par le pape.
Quelques jours avant l’élection, la journaliste Alicia Barrios, connue comme une grande amie de Bergoglio, avait écrit que François « veut un gouvernement qui regarde les pauvres dans les yeux, avec une économie menée par des hommes bons et non pas par les forces sauvages du marché ».
La consigne était claire. Un conseiller de Macri avait répondu : « Ce que dit le pape ne change même pas le vote de dix personnes. » Le scrutin lui a donné raison.