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Réponse à Najat la grosse menteuse

Elle répète que la « théorie du genre » n’existe pas et surtout pas à l’école.

La Manif pour tous a réuni divers documents qui prouvent, s’il en était besoin, que Mme Belkacem est une menteuse récidiviste. Voici juste deux exemples. Une citation de madame le ministre :

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Et une citation de… non pas un méchant « intégriste », mais… Julien Dray :

« La théorie du genre à l’école, c’est la conséquence de l’influence d’un féminisme qui s’est radicalisé. Najat, elle, est sur la ligne des féministes ultras américaines, qui sont en train d’émasculer les sexes. »

Et aussi ceci (entre autres).

Ramadan scolaire

Novopress publie des documents de différentes écoles publiques indiquant que les parents d’enfants faisant le ramadan peuvent demander le remboursement des frais de cantine.

Oui, à l’école dite laïque. Mais laïque a toujours voulu dire anticatholique. Pas contre les autres religions. Surtout quand le ministre s’appelle Belkacem.

Donc dans les écoles on reconnaît désormais officiellement le ramadan, et l’on rembourse les frais de cantine.

Et bien entendu les services de protection de l’enfance, si tatillons, si soupçonneux face au fait religieux, trouvent tout à fait normal que des enfants soient privés de nourriture et de boisson pendant les longues journées de juin… et qu’ils s’empiffrent toute la nuit de ce que l’on peut trouver de plus gras et de plus sucré…

Imagine-t-on ce qui arriverait à des parents non musulmans s’ils faisaient subir ce régime à leurs enfants ?

Le fait qu’il n’y ait même personne pour poser la question est un indice du degré de dhimmitude de notre pays.

Suppression de la liberté scolaire

Le ministre de l’Education anciennement nationale a officiellement annoncé l’abolition de la liberté d’enseignement en France à partir de la prochaine rentrée : le régime actuel de simple déclaration d’ouverture d’une école hors contrat sera remplacé par un régime d’autorisation administrative préalable : il faudra faire la demande au moins quatre mois avant l’ouverture prévue. En outre, les contrôles vont être multipliés dans les écoles existantes, ainsi que dans les foyers où l’on pratique l’école à la maison. Officiellement pour s’assurer du niveau scolaire, en réalité (et l’on ne s’en cache pas), pour vérifier le degré d’adhésion aux « valeurs de la République ».

Dès hier, le cardinal Ricard, archevêque de Bordeaux et président du conseil épiscopal pour l’Enseignement catholique, a publié un communiqué disant notamment :

Depuis plusieurs décennies, l’Eglise a manifesté l’attention qu’elle porte à la liberté d’enseignement. Or, ce nouveau dispositif d’autorisation préalable serait malgré les assurances apportées, une atteinte au principe même de cette liberté constitutionnelle en posant des conditions à l’ouverture des établissements scolaires. Aujourd’hui, l’épiscopat français entend, par ma voix, exprimer à ce sujet à la fois son inquiétude et ses plus grandes réserves.

Les motivations de la réforme envisagée méritent, il est vrai, d’être justement examinées, et notamment la lutte contre la radicalisation. Cette lutte est nécessaire mais pas à n’importe quel prix et certainement pas à celui de la liberté d’enseignement.

Le système actuel de déclaration, pleinement appliqué, et si besoin renforcé, répond d’ores et déjà aux exigences légitimes de contrôle par l’Etat.

Il n’y a donc pas lieu de réformer dans l’empressement et par un biais inapproprié des questions aussi importantes.

On peut regretter que le cardinal Ricard utilise le vocabulaire du politiquement correct en évoquant la « radicalisation », comme si cela touchait toutes les confessions religieuses, comme s’il y avait des écoles où l’on prêche le terrorisme catholique…

Cela dit, le mot « radicalisation » ne trompe personne, au point que Najat Belkacem fait savoir que les contrôles des écoles hors contrat ont une visée surtout pédagogique et détectent non une éventuelle radicalisation mais des « failles pédagogiques ». Cela devient de plus en plus difficile d’inventer des euphémismes.

Il n’en reste pas moins que l’islamisme est très évidemment le prétexte pour la suppression de la liberté scolaire et la mise sous surveillance des écoles hors contrat existantes, qui, lorsqu’elles sont confessionnelles, sont presque toutes catholiques.

Et c’est une grande satisfaction, assurément, pour Najat Belkacem, musulmane au Maroc et laïcarde en France, de pouvoir porter un tel coup au droit à l’école catholique.

On n’oubliera pas toutefois que le vrai responsable est François Hollande.

Encore un qui a tout compris…

Le président du conseil de l’ »Eglise évangélique en Allemagne » (qui réunit l’essentiel des protestants), Heinrich Bedford-Strohm, souhaite que soient instaurés des cours d’islam dans toutes les écoles du pays.

Selon lui, c’est la meilleure façon de lutter contre la « tentation du fondamentalisme », et cela permettrait aux jeunes musulmans d’avoir une « approche critique » de leur religion.

Toutes les religions en Allemagne doivent être compatibles avec la Constitution démocratique du pays, dit-il. « La tolérance, la liberté religieuse et la liberté de conscience doivent s’appliquer à toutes les religions. »

Qui serait chargé de donner ces cours ? Les associations islamiques…

Non, ce n’est pas une blague.

11 Etats contre Obama

Le procureur général du Texas Ken Paxton a annoncé hier que 11 Etats engageaient une action en justice contre le gouvernement des Etats-Unis pour que soit condamnée la directive des ministères de la Justice et de l’Education stipulant, sur ordre d’Obama, que dans les établissements scolaires et universitaires l’accès aux toilettes et aux vestiaires doit se faire selon le sexe auquel un élève s’identifie, et non selon son sexe de naissance, sous peine de suppression des subventions fédérales.

Ces 11 Etats sont l’Alabama, l’Arizona, la Géorgie, la Louisiane, le Maine, l’Oklahoma, le Tennessee, le Texas, l’Utah, la Virginie occidentale et le Wisconsin.

Ils accusent les autorités fédérales de vouloir « transformer les lieux d’enseignement en des laboratoires d’expérimentation sociale massive, en bafouant le processus démocratique et au plus complet mépris des mesures de bon sens protégeant les enfants et le droit fondamental à la vie privée ».

Les commentaires montrent que cette action s’inscrit aussi dans le cadre des revendications d’autonomie des Etats face à un pouvoir fédéral de plus en plus envahissant et contesté.

Plusieurs procureurs soulignent que les lois sont votées par le Congrès, et non dictées par le président.

Le procureur général de Virginie occidentale précise que « les mesures concernant l’enseignement doivent être décidées par chaque Etat, les éducateurs et les parents, et non imposées par diktat présidentiel ».

Pour le procureur général du Tennessee, c’est un nouvel exemple de la méthode d’Obama de légiférer par décrets : « Notre cabinet est invariablement opposé à ces efforts visant à retirer les droits des Etats et exclure les représentants de la population de la prise de décision, ou au minimum d’avoir une période permettant de donner des avis et des commentaires conformément à la loi sur les procédures administratives ».

Peu après la conférence de presse, le gouverneur de l’Idaho Butch Otter a annoncé que ses juristes allaient rédiger un mémoire de soutien aux 11 Etats (un « amicus brief » : argumentation en faveur du plaignant déposée devant le tribunal par quelqu’un qui n’est pas partie à la procédure).

« Nous sommes encouragés, dit Tony Perkins, le président du Family Research Council, par le nombre de dirigeants d’Etats qui se lèvent contre la redéfinition unilatérale de la loi fédérale par le gouvernement Obama. Il est temps maintenant pour les républicains du Congrès, qui ont l’autorité constitutionnelle à égalité avec le gouvernement, d’appuyer ces dirigeants et de ramener sous contrôle la Maison Blanche impérialiste… »

Poignée de mains

Les autorités cantonales de Bâle ont finalement réagi à l’affaire des deux adolescents musulmans du collège de Therwil qui refusaient de serrer la main des femmes professeurs.

Il y avait déjà eu la réaction du ministre de l’Intérieur, qui avait demandé une « analyse juridique » et avait déclaré que sur la base de cette analyse l’école allait supprimer la dispense provisoire permettant aux deux garçons de ne pas serrer la main des dames. La Direction cantonale de l’instruction publique vient donc d’édicter à son tour qu’il est « possible en tant qu’enseignante d’exiger » que l’élève lui serre la main (sous peine d’une amende de 5.000 FS). Car, en cas de dispense, « les enseignant(e)s et les autres élèves se trouvent impliqués dans une pratique religieuse qui ne leur appartient pas ».

Au nom de la non-discrimination religieuse on devait permettre aux adolescents de ne pas serrer la main. Au nom de la non-discrimination religieuse ils doivent serrer la main…

Quoi qu’il en soit de cette aporie idéologique, je n’ai toujours pas compris pourquoi les élèves serrent la main de leur prof : ça ne m’est jamais arrivé…

Surtout, comme les deux adolescents sont les fils de l’imam de la moquée Roi Fayçal de Bâle, et sympathisants de l’Etat islamique, on attend la suite…

La charia s’installe tranquillement

A Therwil, près de Bâle, en Suisse alémanique, deux élèves musulmans ont été dispensés de serrer la main de leurs professeurs parce que leur religion leur interdit de toucher une femme qui n’est pas de leur famille.

Petite note préalable : c’est pour moi une nouveauté que les élèves serre la main du prof. Cela ne m’est jamais arrivé, ni comme élève ni comme prof. D’accord, c’était il y a très longtemps. Mais je n’arrive même pas à imaginer la scène du prof qui serre la main à tous ses élèves…

Bref, ces deux ados de 14 et 15 ans ont décidé de ne plus serrer la main des dames professeurs et sont allés voir la présidente du conseil des écoles de Therwil pour que leur pratique soit officiellement reconnue.

Celle-ci, Christine Akeret, était bien embêtée. Elle a tenté de leur faire remarquer que leur attitude aurait des conséquences. Mais quelles conséquences ? « Un renvoi de l’école ou une amende pour les parents, ce serait disproportionné. » D’autant que les deux garçons affirment qu’ils ont pris la décision tout seuls, sans être influencés par leurs parents. Alors la direction de l’école a accepté leur demande. Avec une modification : ils ne serreront pas non plus la main des professeurs hommes. Afin qu’il n’y ait pas de « discrimination ». Sic. Car ce qui importe c’est la non-discrimination…

Christine Akeret regrette que les autorités du Canton se soient murées dans le silence, et elle se dit peu satisfaite de cet arrangement. « Mais il n’y a pas de bonne alternative. C’est difficile quand quelqu’un ne veut pas s’adapter à nos usages. »

C’est difficile, mais on accepte, puis on s’habitue… Et c’est ainsi que d’absence de poignée de mains en absence de poignées de mains, on s’habitue à la charia…

L’affaire fait néanmoins l’objet de commentaires indignés ici et là, chez ceux pour qui le vivre ensemble implique la poignée de mains… Naturellement, au Conseil islamique de Suisse on ricane : « Après les agressions sexuelles de Cologne, on a demandé aux musulmans de prendre leurs distances avec les femmes et maintenant, on exige d’eux qu’ils s’en rapprochent… »

Addendum

Les deux adolescents sont les fils de l’imam de la mosquée Roi Faysal de Bâle. L’un des deux a retransmis sur Facebook de la propagande de l’Etat islamique, indiquant: « Chaque musulman doit liker. »

La montée de la barbarie

Les chefs d’établissements de 21 lycées parisiens ont décidé de fermer leurs lycées aujourd’hui par mesure de précaution à la suite des mobilisations contre la loi El Khomri, a-t-on appris hier sur RTL. Il s’agit d’une mesure préventive par crainte de débordements. Les chefs d’établissements dénoncent des violences : vitres cassées, feux de poubelles, une porte enflammée et même des jets de projectiles. 

Le ministère de l’Education dite nationale voit ces fermetures d’un très mauvais œil : selon le ministère il est interdit d’empêcher à l’avance l’ouverture d’un lycée.

Myriam Honnorat, représentante des proviseurs au Syndical national des personnels de direction explique : « C’est surtout un sentiment d’impuissance. (…) Il est très difficile pour nous aussi d’avoir affaire à des lycéens qui habituellement sont quand même nos élèves (…) On s’inquiète de les voir arriver cagoulés, nous insulter, envoyer des projectiles. »

D’autre part, lors de la dernière manifestation, « les lycéens » ont pillé deux supermarchés parisiens. Soi disant pour donner à manger aux réfugiés…

60% d’élèves musulmans…

La municipalité de Morlaix a décidé d’arrêter les « repas de substitution » les jours où du porc est servi. C’est le contraire de ce qui se passe à Genève, et à Morlaix on ne cache pas qu’il s’agit de l’islam, même si on n’ose pas prononcer le mot : « Ces repas sont devenus un signe distinctif d’une appartenance communautaire. Ce qui n’a pas lieu d’être dans les écoles primaires publiques et laïques », déclare un adjoint.

L’association des parents d’élèves de l’école Gambetta proteste énergiquement et a organisé une manifestation cet après-midi devant la mairie.

A l’école Gambetta de Morlaix, il y a 60% d’élèves musulmans.