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Catholic Teachers…

Le 25 janvier dernier, l’Alliance féminine canadienne pour l’action internationale a envoyé au Premier ministre Justin Trudeau une lettre pour lui demander de « mettre en œuvre pleinement et sans délai les recommandations de la Commission des Nations Unies sur l’élimination des discrimination envers les femmes ».

Dans ces recommandations qui couvrent « un vaste éventail de questions cruciales pour la promotion des femmes » figure en bonne place « l’accès à l’avortement ».

Parmi les organisations qui apportent leur soutien à cette initiative, on trouve nommément l’Association des enseignants catholiques de l’Ontario (45.000 membres). Et parmi les personnalités, la présidente de cette association, Ann Hawkins.

Il n’y a eu aucune réaction de la hiérarchie catholique.

Il est vrai que l’association a déjà apporté son soutien à la Marche des Femmes pour l’avortement et a fait campagne pour des candidats pro-avortement, participe à la gay pride de Toronto et a appuyé le programme d’éducation sexuelle de la province, qui fait la promotion des relations contre nature…

Le lycée Averroès

Le tribunal correctionnel de Nanterre a relaxé Soufiane Zitouni, poursuivi pour diffamation par le lycée musulman Averroès pour une chronique publiée dans Libération où il accusait le lycée de double-jeu : faisant semblant d’un côté d’être pleinement intégré dans la République mais distillant en même temps l’idéologie salafiste.

Le tribunal estime que « le double langage et la confusion entre religieux et éducation, dénoncés par Soufiane Zitouni, sont constitués », dit l’avocat.

Ben oui… c’est même constitutif de l’islam…

Voir ce que je disais de l’affaire à l’époque.

Betsy DeVos

Pour la première fois dans l’histoire des Etats-Unis d’Amérique, le vice-président a dû voter pour qu’un ministre soit confirmé par le Sénat.

Il s’agissait hier de confirmer la nomination par Donald Trump de Betsy DeVos comme ministre de l’Education. Un choix audacieux, car Betsy DeVos est connue comme une militante de la liberté scolaire absolue : elle veut établir le chèque éducation permettant le libre choix de l’école, y compris l’école à la maison.

Naturellement, l’Union américaine pour les libertés civiles (ACLU), lobby laïciste de la culture de mort présenté chez nous comme « la plus grande association de défense des droits civiques aux Etats-Unis » a fait campagne contre la nomination de Mme DeVos dont le travail dans le Michigan a porté sur un « soutien accru aux écoles privées sans prendre en compte les dommages causés sur les écoles publiques »… Sic.

Jusque dans les rangs républicains (on est pour les libertés mais faut pas exagérer) Betsy DeVos était contestée. Finalement, le Sénat s’est prononcé par 50 voix pour et 50 voix contre (deux sénateurs républicains ayant donc voté contre). En cas d’égalité c’est le vice-président des Etats-Unis qui fait la différence. Mike Pence a donc voté pour Betsy DeVos.

Le Conseil constitutionnel sauve la liberté scolaire

Les agences ont informé hier que le Conseil constitutionnel avait jugé non conforme l’interdiction (platonique) de la fessée, incluse dans le projet de loi égalité et citoyenneté. Mais le bruit de la fessée a occulté la véritable information : le Conseil constitutionnel refuse que le gouvernement puisse supprimer la pleine liberté d’ouvrir des écoles, et il le fait en disant clairement que le gouvernement portait atteinte à a liberté de l’enseignement :

Le Conseil constitutionnel a jugé que, eu égard à l’atteinte susceptible d’être portée à la liberté de l’enseignement par la mise en place d’un régime d’autorisation administrative, le législateur, en confiant au Gouvernement sans autre indication le soin de préciser « les motifs pour lesquels les autorités compétentes peuvent refuser d’autoriser l’ouverture » de tels établissements, a insuffisamment précisé les finalités des mesures susceptibles d’être prises par voie d’ordonnance.

Grand remplacement

Photos de classes à Pontivy (centre Bretagne) :

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 On peut constater que sans l’immigration… il n’y aurait plus d’école. Image du suicide breton, suicide français, suicide européen, et suicide de la chrétienté occidentale…

(Via Fdesouche)

Liberté scolaire

Donald Trump a nommé Betsy DeVos comme ministre de l’Education :

« Sous sa direction nous allons réformer le système scolaire américain et supprimer la bureaucratie qui handicape nos enfants, afin que nous puissions offrir une éducation et un choix d’écoles de niveau mondial à toutes les familles. »

Betsy DeVos est connue comme une militante acharnée de la liberté scolaire (y compris l’école à la maison). Elle est présidente de l’Alliance pour le choix de l’école, qui fait notamment campagne pour le coupon scolaire. Elle et son milliardaire de mari (mais elle-même est milliardaire) ont créé le comité d’action politique « Tous les enfants comptent » (All children matter) spécifiquement dédié au coupon scolaire.

Propagande sodomite

C’est une campagne d’affiches sur les panneaux Decaux, sous le parrainage du ministère de la « Santé », qui vise prétendument à protéger « le sexe entre hommes », avec une photo explicite (avec en outre le cliché du noir dominant…) accompagnée de slogans : « Avec un amant, avec un ami, avec un inconnu », « coup de foudre, coup d’essai, coup d’un soir »,  « S’aimer, s’éclater, s’oublier ».

En Gironde, c’est une affiche destinée aux collèges, pour profiter de l’éventuelle fragilité de l’adolescence… Conçue par le « Conseil départemental des jeunes », que préside l’ancien président de la « Lesbian and Gay Pride » de Bordeaux (ici c’est pour les deux sexes).

Addendum

Il y a une pétition pour le retrait des affiches « le sexe entre hommes ».

Laïcité allemande

Les élèves de troisième année de l’école élémentaire d’Ebersberg, dans la banlieue de Munich, faisaient chaque année une visite à l’église de la ville. Cette année, le directeur a interdit la visite, parce qu’il n’est pas admissible de faire subir cela à des élèves qui ne sont pas de la foi catholique.

Dans le même temps, à Rendsburg, près de Kiel, des parents ont été condamnés à une amende de 300€ pour avoir refusé que leur enfant participe à la visite de la mosquée, où on leur donnait un cours de prière islamique.

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Omerta

Les violences contre les enseignants se multiplient. Dans des communes ou des zones où chacun voit bien de quelle « communauté » sont les agresseurs. Mais on ne nous en dit absolument rien. On ne nous donne même pas le moindre prénom. Tout juste sait-on qu’à Argenteuil ils ont répondu à l’enseignant que « le seul maître est Allah ».

Bien évidemment Najat Belkacem observe le même silence et pérore pour ne rien dire.

Les victimes se soumettent donc au diktat de la pensée unique et du politiquement correct, et du vivre ensemble qui les envoie à l’hôpital. En faisant cela, les victimes se rendent tout simplement complices de leurs agresseurs. Ce n’est pas chez moi qu’elles trouveront la moindre compassion.

En Inde

Trois enseignants hindous de l’école de la Sainte-Trinité (1.600 élèves) de Dewas, diocèse d’Indore, Etat du Madhya Pradesh, ont porté plainte contre la direction de l’école parce qu’ils ont été « blessés dans leurs sentiments religieux ». Et la Akhil Bharatiya Vidyarthi Parishad (ABVP), organisation étudiante affiliée au groupe extrémiste hindou Rashtriya Swayamsevak Sangh (RSS), a envoyé un mémorandum aux autorités éducatives du district pour demander une enquête criminelle contre l’école et le retrait de son habilitation. L’enquête a été ouverte.

Ces enseignants reprochent à la direction d’avoir enlevé de l’école le portrait de la déesse Saraswati (déesse de la connaissance, donc des écoliers) et d’avoir interdit que soit entonné le chant à la déesse. Ils ajoutent ce grief que la direction (de l’école catholique) célèbre les fêtes chrétiennes avec ferveur mais montre peu d’intérêt pour les fêtes hindoues…

En ce qui concerne ce dernier point, la principale, sœur Lucie, dit que ces professeurs n’ont jamais parlé de cela lors des réunions mensuelles, et qu’il y a davantage de fêtes hindoues que de fêtes chrétiennes célébrées dans l’école… Elle ajoute que l’une de ces enseignantes, il y a cinq ans, avait attaqué l’école pour « conversions forcées » et avait été déboutée, et que l’école aurait pu alors la licencier…

En ce qui concerne le chant à la déesse, la direction fait valoir qu’il n’y a pas eu demande d’autorisation.

Et pour ce qui est du grief principal, ce qui s’est passé est que le portrait de la déesse a été retiré du panneau d’affichage le 2 octobre pour être remplacé par celui de Gandhi, ce jour-là seulement qui est l’anniversaire de sa naissance, mais que la personne chargée de remettre la déesse le 3 a oublié de le faire…

Sajan K George, président du Conseil global des chrétiens indiens (GCIC) déclare à l’agence Fides : « Les accusations faites par les enseignants font partie d’une manœuvre organisée à l’encontre des institutions d’instruction chrétiennes. En attaquant les institutions éducatives chrétiennes, ses auteurs cherchent à intimider la population chrétienne présente au sein de l’Etat du Madhya Pradesh. »