C’est dans un article (LCI, via le Salon Beige) sur les risques de l’ibuprophène pour la femme enceinte, ou plutôt pour son enfant si c’est un garçon. On découvre que des chercheurs français, écossais et danois ont étudié les effets de l’ibuprophène « sur des testicules de fœtus humain récupérés sur des produits d’avortement avec l’accord des femmes concernées ». L’une des études a consisté à greffer les testicules sur des souris…
– Madame Machin, est-ce que vous permettez qu’on prélève les testicules de votre produit d’avortement pour les greffer sur une souris ?
– Mais faites, je vous en prie…
Or donc l’ibuprophène perturbe le système hormonal et « pourrait avoir des effets secondaires graves sur le fœtus à naître ».
Le tout est de ne pas confondre le fœtus à naître (sic) avec le fœtus du produit d’avortement.
Une société qui en arrive à ce point d’inhumanité mérite tous les châtiments.